Jeudi 15 août eut lieu une conférence sur le thème du nouveau populisme au Royal Melbourne Institute of Technologie (RMIT), organisé par le Centre de l’Union européenne de RMIT et l’Association des études européennes contemporaines de l’Australie (CESAA).

Les conférenciers ont tenté d’expliquer ce qu’est le populisme, une notion qui ressemble au nationalisme et dont la singularité est difficile à déterminer. Les noms de Trump, Berlusconi et Le Pen furent évoqués.

Malgré leur expertise en la matière, les professeurs de RMIT Cathy Greenfield de l’École des médias et de la communication, Stephen Alomes et Joe Siracusa de l’École d’études globales, urbaines et sociales, ainsi que le professeur Bruno Mascitelli de l’Université de Swinburne, ne purent prédire l’avenir de ce mouvement polymorphe.